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de The Berbiseyans
Biographie de The Berbiseyans
The Berbiseyans voient le jour au cours du rude hiver de l'an de grâce 2013, sous l'impulsion de Dandy Ferdy. Un guitariste aux skanks ravageurs, capable de créer une crise de syncope chez n'importe quel auditeur ! Celui-ci, désireux de fonder un groupe de Skinhead Reggae, réunis dès lors quatre Rudies, afin d'accomplir de basses besognes musicales.
El Doctor Psych, organiste aussi rustre que rugueux mais néanmoins fantastique ! Un étalon ardent galopant les gammes.
Jej the Bell, batteur dont les éclats de rire tonnent aussi fort que sa grosse caisse, et pourvu d'une capacité d'enchainement à couper le souffle !
Monkey Max, chanteur de rue qui distrait les badauds pour quelques tôles de binouzes journalières.
Grappe's Ball, bassiste vaudou capable de faire trembler la Terre sur une simple note, dont les doigts sont de vrais gambettes d'araignées !
Son larfeuille en prit un sérieux coup, mais on ne trouve pas une équipe pareille sous le sabot d'un bourrin.
Ils scellèrent leur alliance dans un tripot malfamé de la rue Berbisey (Dijon), d'où le blase The Berbiseyans !
S'ensuit une belle aventure faite de répètes, de compos, de concerts. Affinant leur style, un skinhead reggae, avec une touche de modernisme, un zest de cradingue, une bonne louche de folie, une conception qui aux dires des honnêtes gens frise l'hérésie.
Après une démo sortie en 2014, ils décident de concrétiser par un EP en Mars 2014, qu'ils enregistreront dans l'antre du démon, le Kaiser Studio
Deux titres en sortiront avec la saveur particulière de cette étrange alchimie: Drunken Man Kun-Fu et Smoking Man Tai-Chi.
S'ensuivit des concerts mémorables, un affinage en technique, des trajets en éclats de rire et un gain de puissance incontestable.
Le Kaiser étant parti pour d'autres cieux, tutoyer l'éternité au panthéon des rockers, il leur fallut trouver une autre tanière pour graver leurs méfaits vinyliques.
C'est au fin fond de l'agglomération Dijonnaise qu'ils trouvèrent la planque d'un petit diablotin, El Taz. Bien que celui-ci soit a mille lieux de leur béchamel musicale, c'est avec un plaisir non dissimulé qu'il aida le combo à maquiller son plus gros coup.
En Avril 2017, le Berbisey Crew enregistre son premier album, Secret Avenger, soit 11 titres de Dirty Reggae. En clair, l'apothéose de la félicité !
Le groupe reprit la route afin de distribuer ses mandales sonores aux quatre coins de l'hexagone. Voici la chronique judiciaire en cours de The Berbiseyans, attendez-vous à ce que ces lascars viennent faire leur potin sous vos yeux. Un forfait qui sera loin d'être le der !
