THIERRY AMIEL

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Où vont les histoires ?

"Où vont les histoires ?"

05/2010 - Columbia
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Avis sur Thierry Amiel


Haziza A.
1 critique
  Avis écrit le 22 Février 2021

Un artiste hors paire.Une sensibilité à fleur de peau qui se ressent dans ses textes de son dernier album ARTEFACT.Un album tres intime qui dévoile une facette de Thierry jusque là pudiquement caché.Une musique actuelle, une voix qui n'a pas prit une ride.mi lyrique mi rock.Des textes qui dévoilent son paysage interieure magnifique.À écouter et réécouter.

Régis Z.
1 critique
  Avis écrit le 24 Juillet 2017

Un artiste unique doté d'une sensibilité, d'une voix et d'une beauté naturelle à toute épreuve..!

Géraldine B.
1 critique
  Avis écrit le 06 Septembre 2005

Le 08/06/2005 - LILLE.
concert géniale il a su nous attirer dans son univers surtout avec ses reprises de muse et de andreas johnson. a chaque fois que je vois la pub de nutella je pense a thierry et son glorious magnifique!!!

Delphine N.
2 critiques
  Avis écrit le 06 Janvier 2005

Le 19/11/2004 - PARIS LE CASINO.
Voyons... comment débuter... ??? Je sais :
THIERRYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYY !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Ah..., je me sens mieux. Depuis vendredi 19/11 22 h (heure à laquelle j'ai tourné le dos à la façade du Casino de Paris), je suis excitée comme un wagon de sauterelles hyperactives.

Ayant déjà fait un avis sur Thierry au Bataclan, je vais être brève (uniquement pour ne pas briser définitivement les liens fragiles qui m'unissent à certains vilains qui ne partagent pas mon amour surdimensionné pour le blondinet).
Ces gens là n'ont aucun goût mais je leur pardonne.

Récit d'une soirée pas comme les autres...

Ma chère Porcelaine (autre fan) et moi-même nous retrouvons enfin dans la queue vers 19 h 00 (un grand merci à l'inventeur du portable) : perso j'y suis depuis 17 h 30 et je ne suis qu'à la moitié de la file !!!! Certaines groupies sont apparemment arrivées dès 14 h 00 (comme quoi y'a encore plus dingue que moi). Mais comment font-elles pour aller pisser ?? bah oui, je m'interroge...

Bref, après les blablabla (avec ou sans s ?) de retrouvailles, nous nous apercevons que nous avançons enfin : AHHHHHHHHHHHHH !!!!!!!!!!!! on va devenir hystériques dans pas longtemps, c'est clair. Ca fait du bien d'avoir 15 ans quand on en a 35. On se marre comme des baleines pour un rien, c'est les nerfs.

On s'engouffre finalement dans la salle : complet en bas ! On va les taper ces usurpatrices qui n'urinent pas et qui nous bouffent les meilleures places à chaque fois !!! Mais avant on va gagner le balcon et là, miracle, on a une vue d'enfer, bien mieux qu'au Bataclan où il nous fallait une longue vue pour voir notre chéri d'amour.

On s'asseoit et on prie pour qu'on nous colle pas une première partie. Mais non, notre poulain est parfait, il sera le seul ce soir; comme les autres fois.

20 h 00 : le public chauffe à mort. Tout le monde ou presque a des ballons bleus, des affiches « RDV en 2005 » (pour l'Olympia) et des espèces de fusées, le tout fourni par les adhérents du fan club. Et bien la prochaine fois on fera pareil : tant qu'à être grave folles, autant se lancer à fond ! Puis le ridicule ne tue pas, c'est bien connu.

20.05, ça hurle de partout. Nos pauvres petits cœurs battent la chamade, on est redevenues des mômes, c'est génial.

20.10, apparition d'Etienne Daho au balcon, puis d'Elodie et Michal (les siamois !) : on va peut-être enfin pouvoir commencer si ça dérange personne... !! (faut pas déconner on a une résa à honorer au resto du coin !)

20.15 : lumières, musique, arrêt cardiaque de 2 ciaonautes liquéfiées.

THIERRYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYY !!!! Cris de folie puis silence total : Respect de l'artiste. Et ce sera la même chose à chaque chanson : délire puis calme olympien dans la foulée.

Même spectacle qu'au printemps (voir mon avis pour ceux que ça intéresse parce-que si je détaille je vais me faire frapper par les méchants sus nommés) avec seulement quelques petits changements :

Tout d'abord il a enlevé la reprise de « Glorious » d'Andreas Johnson pour la remplacer par une nouvelle chanson de son second album, qu'il est en train de co-écrire avec Axelle Renoir.
Cette dernière, « Lou est dans la Bergerie », exploite parfaitement l'organe phénoménal de Thierry (nooooooon ! celui-là c'est dans mes rêves... l'autre !!) : il démarre hyper grave pour finir super haut perché, comme il sait si bien le faire.
Transcendant... A cet instant précis, Porcelaine et moi-même nageons dans un autre monde, surnaturel. Snif, c'est trop beau.
Mes poils de bras sont encore en érection, c'est pas du plus bel effet.

Grosse bouboule in the gorge. On l'aime ce petit. D'ailleurs, je veux bien lui apprendre la vie moi (mon côté généreux sans doute).

Autre différence évidente, notre ange blond montre plus d'assurance qu'au Bataclan, même s'il s'emmêle les crayons 2 fois (pas grave, il s'en est sorti comme un chef et ça donne un peu d'humanité à ce monde artificiel où tout le monde chante régulièrement en play-back).
Il fait participer le public à maintes reprises : c'est interactif quoi...
Bref, il est à l'aise le mignon et ça se sent. Remarquez, quand vous avez un public pareil devant vous, c'est plutôt rassurant ! Des ballons volaient de partout et, à la fin, il a récolté suffisamment de peluches pour combler ses futurs mioches !

Autre modification : au rappel, il a échangé « Ne me quitte pas » avec « Le port d'Amsterdam » : larmes de joie et de tristesse, car si c'est géant ça sent aussi très méchament la fin...

Ovation monstrueuse, il part, il revient, il part...

Coulée de sueur entre les seins qu'on n'a pas (mais ça va pousser, suffit d'être patientes...)


C'est terminé. OUINNNNNNNNNNNNNNNN !!!!!!!!!!!!!!!

En plus on se fait virer comme des malpropres du hall où nous campons, bien décidées à le violer dès sa sortie. En gros le message subliminal c'est : « Désolé mais il faut évacuer, il y a un cocktail et les petites gens comme vous n'y sont pas conviées...»
Ah ouais ??!!! Et comment on fait pour être VIP ??? Je veux devenir quelqu'un moi, je veux voir MON Thierry, je veux boire du Champagne mega cher en sa compagnie, JE VEUX !!!!!!!!!!!!!!!
Pour couronner le tout, ils nous ont collé le rideau de fer, nous laissant agoniser dehors, sans avoir pu lui arracher sa jolie petite chemise noire (pourtant je suis sure qu'il en aurait été ravi).

Dépitées, nous devons prendre la route. Enfin... pas bien loin car nous avons pu nous remémorer tous ces instants de pur bonheur autour d'une bonne table au resto « Les Comédiens » situé juste à côté.
De rage, nous avons liquidé le Beaujolais sans aucun remord.

Et maintenant, qu'allons-nous devenir ? Il y a bien le prochain album en avril 2005, puis une tournée en province au printemps et, pour conclure, l'Olympia à la rentrée mais... serons-nous assez fortes pour tenir jusque-là ??? Vais m'inscrire au Fan Club, me sentirai moins seule...

En tous cas, je ne manquerai pas (retenez votre joie !) de vous raconter TOUT dans les moindres détails.

sanstoi, accro à son Apollon chanteur.

Delphine N.
2 critiques
  Avis écrit le 06 Janvier 2005

Le 11/05/2004 - PARIS LE BATACLAN.
Thierryyyyyyyyyyyyyyy !!!!!!!!!!! Thier-ry ! Thier-ry ! AAAAAAAAAAAAHHH !!!!!!

Ca fait 9 mois (le tempsqu'il me fasse un enfant) que je l'ai vu disparaître derrière le rideau rouge de la scène du Bataclan, petite salle intime où mon rêve devint réalité en ce jour béni du mois de mai de l'année 2004...

Bon, le temps de respirer un grand coup, d'essuyer un reste de larme et je balance la sauce.

Arghhhhhhhhhhh, je m'en remets pas, y'a rien à faire. 12 ans ½ que j'ai. Si si... Pas besoin de crème anti-ride rajeunissante : vous prenez un Thierry et vous perdez 20 ans en deux temps trois mouvements pour 38 euros.

Anhhhhhhh ce 11 mai j'aurais voulu être une planche pour qu'il me foule de ses petons et tenter un copinage rapide avec ses chaussettes moites... j'aurais surtout souhaité être son micro pour récolter ses postillons, au même titre que le dingue qui a conservé un bout du pudding provenant des noces princières de Lady Di ! Bref, j'eusse simplement apprécié qu'il ait la bonne éducation de me violer directement, sans faire de chichi et qu'on n'en parle plus.

Mais non. Que dalle. RIEN.

Pourtant, pour lui, j'ai bravé tous les dangers. Je me suis usé les yeux à mater 40 fois par jour le calendrier, des fois que ça avancerait plus vite, j'ai saoulé mon mari jour et nuit au risque de recevoir une notification de divorce, j'ai fait la queue en pleine capitale dans des circonstances atroces : temps magnifique et rencontre inespérée avec Porcelaine (une autre dingue de Thierryyyyyyyyyyyyy !!).

Vous l'avez compris, il faut avoir un courage de bélier pour surmonter toutes ces épreuves et être encore là aujourd'hui pour vous les raconter, au risque de me voir confrontée à votre incompréhension totale (mais soyez indulgents, y'a pire que d'être fan de T.A. : certains se damneraient pour Carla Bruni !).

L'attente était insurmontable, j'allais flancher, c'était évident : pourquoi qu'elle avançait pas la queue !!!?? Fort heureusement mon mari (qui ne m'a toujours pas répudiée) était là en cas de besoin pour récupérer les morceaux éparpillés de mon cœur explosé.

Enfin, nous voilà perchés au balcon, certes au dernier rang mais bien placés car pas un chat derrière nous : on allait pouvoir brailler comme des veaux, se lever, sauter, s'évanouir.

Faut que je vous dise un secret : Porcelaine (énervée comme une puce épileptique) a pris une dizaine de photos de la salle avant même que le spectacle commence (un moyen comme un autre de se calmer les nerfs).

Après avoir hurlé à se faire péter les cordes vocales pendant un quart d'heure (oui, il a OSE se pointer à 20.15 au lieu de 20.00 !!!!!!!!!!!!!!!!!) il est apparu... Un ange blond non pas tombé du ciel mais des coulisses, ce qui a suffit à créer l'hystérie collective.

Je n'aurais pas aimé être en bas car, après chaque titre, tout le monde était régulièrement debout à s'égosiller et les nains dans mon genre ont pas dû voir grand-chose de la bête : oué, pas fastoche de rester tranquillement assis quand vous voyez et entendez ce mec...

C'était incroyable : ça gueulait avant, après, mais pendant les chansons il y avait un silence religieux jusqu'à la dernière note de musique. Tiens puisqu'on en parle, bravo aux musiciens et aux techniciens responsables des jeux de lumière car c'étaient pas des guignols, c'est clair.

J'ai encore mal aux mains tellement je me suis déchaînée et je suis restée aphone pendant deux jours (là c'est les gosses qu'étaient heureux !).

Première chanson : « Sans toi ». Au s'couuuuuuuuurs !!!! c'est ma préférée !!! Je l'entends encore me crier « J'étais sans toi ! Que veux-tu moi ça me tuera si tu préfères rester sans moi... » alors que je demandais que ça de me traîner sur le sol jusqu'à la scène, au risque de me faire griffer par les vieilles peaux qui tenaient méchamment à leurs places de choix.

Ah oui, je vous ai pas dit : le public Amiel c'est pas franchement ado. Je dirais que la moyenne d'âge tournait vers la petite quarantaine ou la grosse trentaine, comme on veut. Faut dire que le répertoire est différent de celui écouté en boucle par les gamines d'aujourd'hui. Et tant mieux car ce genre de public est fidèle, il ne change pas d' « idole » tous les 15 jours avec le gagnant du jeu suivant. Et puis d'ailleurs, notre TITI, il avait « perdu », pour son plus grand bonheur aujourd'hui : pendant que l'autre se vautrait à l'Eurovision samedi soir, Thierry faisait sa dernière à guichet fermé et assure déjà un double disque d'or de son album « Paradoxes ».

Reprenons. Voilà mon chouchou qui attaque « On s'envole » et toute la salle s'est envolée avec lui. Magique. Ca chauffait dur dans la chaumière, on en prenait plein les tympans. Quelle énergie, un pur bonheur. Cette voix... si fragile et si forte à la fois, c'est extraordinaire.

Arrive le slow « Ce qu'on sera » : pas ma préférée mais il dégage une telle émotion que mes guiboles en tremblent. Ce type maîtrise sa voix à la perfection, certains « chanteurs » devraient en prendre de la graine.

Y'en a marre, tout le monde lui crie « Je t'aiiiimeuuuuuuuu !! » ou « bravooooooo ! t'es l'meilleur !!!!!!!! » comment voulez-vous qu'il me repère !?!! Je vais rentrer seule, c'est sûr.

Voilà la chanson qui tue : « Je regarde là-haut » : et bien il devrait effectivement regarder là-haut, peut-être apercevrait-il deux folles grimpées sur élastique qui tentent désespérément d'attirer l'attention du monsieur... Je me lasse pas de ce titre écrit par Calogero : idéal pour notre blondinet. Mais qu'il arrête bon sang, j'ai des frissons partout, je vais pas gagner le final !!

En plus il trouve rien de mieux à faire que de nous dire, avec sa voix feutrée et son air timide qu'on le boufferait tout cru, qu'il est ravi de pouvoir enfin nous rencontrer (et nous donc... !).

Ensuite j'ai frisé l'arrêt cardiaque : tout le monde est parti sauf le pianiste et notre Apollon, qui nous a foutu les boules sur un « Je suis malade » de Serge Lama DEMENTIEL. Que dire sinon que ce gamin est un véritable artiste. Du grand art qu'il nous fait là, c'est horriblement beau, affreusement jouissif.

Un rêve... Je voudrais bien m'endormir encore. Les applaudissements retentissent à mort dans la salle, c'est géant.

Quand les notes de « Ma belle histoire » ont résonné, ce fut grandiose, le Nirvana. Ce type est TA LEN TUEUX y'a pas à tortiller. Il se donne à fond et c'est franchement prenant. Il a chanté accompagné d'un violon et d'un violoncelle, assis sur son tabouret, avec la simplicité émouvante des grands qui n'ont besoin de rien pour faire leur effet : il n'est pas nécessaire de danser comme un dingue sur une musique électronique de fou quand on a du talent, l'organe vocal et l'instrument suffisent amplement à retenir l'attention.

A ce niveau du concert, j'étais déjà proche de l'état liquide. Quant à Porcelaine elle répétait en boucle : c'est génial, c'est génial, c'est... (je l'ai pas interrompue je crois que ça lui faisait du bien...)

Ca ne s'est pas arrangé quant il a entonné « Avec le temps » de Ferré. Epoustouflant. Ce type est envoûtant.

Puis il enchaîne avec « Un jour arrive » écrit par Lionel Florence, qui avait complètement flashé sur ses prestations (comme le reste du jury d'ailleurs) lors de l'émission présentée sur M6 l'année dernière. Un bijou que cette balade. Snif, larme à l'œil et poils dressés sur les avant-bras garantis, même pour les plus récalcitrants d'entre nous... Je précise que sur cette chanson Porcelaine a frôlé la syncope mais, comme elle voulait voir la fin, elle a tenu le choc (saluons sa volonté hors du commun).

Je vous ai pas précisé non plus que mon mari avait les yeux un tantinet brillants : oué, c'est un dur au cœur tendre et il craque aussi pour Thierry, même s'il est moins démonstratif que son épouse déjantée.

Ensuite il nous dit qu'il veut « Changer d'air » le mignon : démoniaque. On nage dans le surnaturel, je vais défaillir.

JE L'AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIMEUUUUUUUUUUUUUUU !!!!!!!!!!

Et paf, il nous déroute en interprétant dans la langue de Shakespeare et de façon magistrale une chanson de Muse « Everything you want » : nœuds dans la gorge, cheveux dressés sur le crâne, pieds poites, moumoune en sueur.

VOTEZ THIERRYYYYYYYYYYYYYYYYYYY !!!!!!!!!!!!!!!!

On le retrouve quelques minutes plus tard dans « 2000 ans sur la terre », qu'il a co-écrit. Il y croit le p'tit et ça s'voit : il partage ses sentiments totalement, sans retenue et le public suit dans cet échange, c'est une communion parfaite.

Puis il pète la baraque avec « Avant » qui déchire grave de chez grave. On peut dire que ça déménage : un futur tube assuré. En concert cette chanson est démente, elle vous file une pêche d'enfer. Merci encore une fois à Lionel Florence...

Une fois les gens calmés (oui, ç'était un peu l'souk à chaque fois : jamais vu autant de « vieux » se défouler comme ça) il nous ose un extrait d'un texte de Ferré repris par Noir Désir : « Des Armes » et un autre extrait que je n'ai pas reconnu, du même groupe. Pffffffffff mais comment fait-il pour nous mettre en transe de cette façon ? On a beau s'y attendre, on est surpris à chaque fois qu'il ouvre la bouche (que je croquerais bien s'il me le proposait gentiment).

Suit « Entends-tu les hommes » qui arrache des tites larmes de mes yeux écarquillés tellement c'est fort (bien mieux que sur l'album où les effets musicaux sont pas terribles, voire agaçants).

Heureusement la chanson en anglais « Glorious » de Andreas Johnson qui arriva juste derrière me permit de me calmer car c'est la musique d'une pub débile qui m'énerve (mais Dieu qu'il l'a bien fait... !)

Soudain on se rend compte que c'est fini. Oui, il termine avec son excellente reprise des « Mots Bleus » de Christophe et là c'est le délire collectif : tout le monde chante à l'unisson, les briquets sont allumés, ainsi que les petites étoiles de toutes les couleurs qui, je suppose, étaient vendues à l'entrée.

Cris. Pleurs. Applaudissements. Lancés de peluches et de fleurs sur la scène. J'ai failli jeter mon string mais mon éducation stricte m'en a soudainement empêché... Notre Thierry chéri nous dit bonsoir avec des yeux malicieux...

...pour revenir en force avec deux invités surprise : Steve (mon préféré) et Julien de la « Nouvelle Star » cru 2004 : heu... z'auraient mieux fait de s'abstenir les pauvres. Il leur a un peu mis la honte, c'est le moins qu'on puisse dire. Steve murmurait et Julien faisait des couacs bizzarroïdes, tandis que Thierry brillait de mille feux sur sa chanson fétiche. Bref, un trio pas top pour une version revisitée de « Je regarde là-haut ». Pas grave, de toutes façons on ne voyait que « Lui ».

Après nous avoir remerciés, sa silhouette élancée vêtue sobrement d'un jean et d'une chemise noire (que je me propose de déchirer sauvagement dès que l'occas se présente) disparut à nouveau, pour laisser place à l'hystérie totale. C'était l'extinction de voix assurée le lendemain (moi j'étais éteinte dès la sortie mais c'est revenu assez vite : pas le temps de refroidir, on avait trop de choses à commenter !).

Thierry nous rejoint finalement et nous assène le coup de grâce avec « Ne me quitte pas » de Brel, juste avec le pianiste. Un moment inoubliable, d'autant plus qu'on pensait que c'était la dernière. Joie et tristesse se mêlaient, c'était beau. Impossible de retranscrire l'émotion de la salle, ni les hurlements qui suivirent. Phénoménal le garçon, y'a pas d'autre mot.

Il est reparti en coulisses mais l'ambiance était à son comble et visiblement personne ne souhaitait mettre un terme à la soirée ! Même lui, qui décide alors de nous interpréter « l'Aigle Noir ». FABULEUX. Ce jeune homme possède de l'or au fond de la gorge et une faculté de vous envoûter hors du commun. Un monstre d'émotion, dégageant un subtile mélange de joie de vivre et de mélancolie. Mur, très mur pour ses 21 ans...

Grrrrrrrrrrrr le voilà qui nous quitte encore, avant même que nous ayons le temps de redescendre de notre nuage. Mais c'était mal nous connaître, nous avions encore des forces. Et, alors que la salle commençait à se vider, certains (comme nous !) voulaient y croire encore et restaient donc plantés à leurs places, pas décidés à bouger d'un pouce.

Et le miracle arriva... Les musiciens étant en train de ranger, il prit son micro, s'accroupit, et nous demanda de chanter avec lui, a capella, « Les mots bleus ». Ce fut énorme. Très humain. Hyper touchant. En plus j'ai pu l'approcher de près, les plus défaitistes ayant quitté le navire... haaaaaaaaaaaaan comme j'aurais aimé avoir 15 ans de moins, ressembler à miss monde et chanter divinement afin qu'il me jette un regard, même un tout p'tit... ok, tant pis.

Nous sommes sortis enchantés, transportés. Même Porcelaine en oubliait de parler ! On était comme dans un état second. Ma moitié a même trouvé que c'était mieux que le concert de Pagny, c'est dire ! Alors, pour se remettre, on est allés... manger ! et trinquer à sa santé en bons français que nous sommes...

10/10 pour ce spectacle mêlant harmonieusement des chansons d'hier et d'aujourd'hui. (et je suis objective ! si si).

Une autre ! une autre ! une autre !

Pas grave paskeu vous savez quoi ?? Et benh on a enchaîné avec le casino de Paris le 19 novembre !!!!!!!!!!!!! Hé hé hé ! Accros nous sommes, accros nous resterons, foi de sanstoi en ébullition.



PS : pour ceux que ça intéresse, l'avis sur le Casino de Paris est en liiiiiiiiiiiiiiiiiigne !

PS 2 : le 2ème album doit sortir en avril : ACHETEZ-LE C'EST UN ORDRE

PS 3 : que ceux qui brûlent d'impatience de voir mon chérubin en tournée se rassurent, l'Olympia est prévue à la rentrée 2005.


sanstoi, fan transie qui veut pas guérir.

Concerts passés de Thierry Amiel

Il n'existe pas d'archives pour l'année 2024.

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