PARIS CHERI(ES)

PARIS CHERI(ES)

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Tout ce que vous avez toujours voulu qu'on vous chante sur le sexe sans avoir jamais osé le demander.Paris-Chéri(es) vous attend, avec des garçons et des garçonnes, Jésus-la-Caille ou Messaline, des femmes fatales ou des ingénues qui ne le sont pas tant que ça.
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Laissez-vous entraîner dans le Paris coquin mythique et éternel ! Une fantaisie-revue où il est si bon d’être polisson et rire à grands éclats, où la séduction, l’amour et le sexe sont la première raison de vivre. Venez danser le Mambo de Lesbos, cueillir des Ananas, visiter la Rue de la Raie, manipuler un Joli Fusil et penser : C’est bon !, en parlant de Ça

La définition de genre « fantaisie-revue » prend sa source au coeur du XIXème siècle, lorsque les théâtres du « Boulevard du Crime » - ainsi nommé parce que le Boulevard du Temple, dans le Paris d'avant Hausmann, où s'étaient installées de nombreuses scènes, était donc l'endroit où se commettait le plus de meurtres tous les jours - présentaient leur « revue de fin d'année » au bout de l'an.

On y passait en revue, sous forme de « tableaux » enchaînés constitués de parodies de scènes ou de chansons célèbres, de sketches comiques et mordants, les événements de l'année écoulée. L'unité du spectacle s'établit avec son titre, qui définit le sujet général évoqué dans la revue et auquel chaque tableau se rattache.

Avec le temps, l'arrivée du music-hall et l'évolution des genres spectaculaires, la revue s'est déclinée de multiple façons, comédie ou opérette-revue, revue de music-hall, revue à grand-spectacle,... La fantaisie-revue est donc un sous-genre de la revue ; les deux mots associés indiquent à la fois la nature de « spectacle à tableaux » de Paris-Chéri(es) et l'humeur qui s'y associe.

Paris Chéri(es) nous emmène donc en balade dans le Paris du siècle dernier, dans un répertoire tout particulier.