VERA BLUE

Biographie de Vera Blue

Un disque intensément personnel, il trace les voies souvent circulaires entre l'amour et la perte à travers ses 12 pistes.
 
L'album est organisé en trois chapitres, qui retracent chronologiquement le développement de Vera Blue; de sa première semaine d'écriture, crue après la rupture d'une relation, vers un lieu de force renouvelée et de vivacité.
 
«J'ai l'impression que cela permet à l'auditeur de comprendre les phases et les processus de pensée, les montagnes russes émotionnelles que j'ai vécues ces 18 derniers mois»,   explique-t- elle .  '[Mais] une fois que cette histoire est sortie, ça ne me concerne plus. Je veux qu'il soit pris entre les mains et les cœurs des auditeurs comme s'il était le leur.
 
Enregistré entre Los Angeles et Sydney,  Perennial a  été écrit avec des collaborateurs de longue date  Andy et Thom Mak ( Boy et Bear, Winterbourne, Bertie Blackman ) )  ainsi qu'avec l'ingénieur Jackson Barclay . C'est le produit d'innombrables heures passées à composer des chansons dans le studio en équipe, souvent jusqu'au bout.
 
"Nous avons écrit et produit cet album en même temps",  explique Andy Mak . 'Thom, Vera et moi nous réunirons pendant quelques semaines et commencerons à écrire. Une fois que nous avions une idée, nous prenions des instruments, des pads, des synthés, des guitares ... et nous jouions. Je pense que nous avons tous joué de tous les instruments à différents moments de cet album.
 
«Beaucoup de tambours ont été surimposés avec des tambours, des casseroles et des poêles, ou même des tiroirs à couverts jetés à travers la pièce. Mon rythme préféré sur l'album est celui où le coup de pied est fait à partir d'une pédale de sustain et le piège est une chaîne à l'intérieur d'un vieux pianola.
 
Sans surprise, Perennial présente un son plus sophistiqué pour Vera Blue, y compris quelques expériences audacieuses avec la production.  
 
"Nous n'avions vraiment pas peur et nous avons essayé de ne pas douter de nous",  déclare Vera Blue de son équipe.  "Avec l'émotion de la façon dont nous avons écrit les chansons et la façon dont Andy traduisait cela en production, vous pouviez en ressentir le sens. Je n'ai jamais travaillé avec quelqu'un qui est si en accord avec moi.
 
«Si un son, un texte, un rythme ou une mélodie semblait jamais authentique à Vera, il a très vite été abandonné»,  ajoute Andy Mak. « Ce qui distingue ce disque, c'est qu'il n'y a jamais eu de pression pour que ça sonnât comme tout ce qui avait déjà été fait, ce qui veut dire que nous ne mesurions une chanson que si nous y croyions et en étions émus. '
 
Les titres de l'album «Lady Powers», «Regular Touch»  et «Magazine » font également ressortir des éléments de danse sans compromis dans l'écriture de Vera Blue, une esthétique qui, selon elle, est très attendue.
 
«Je danse beaucoup quand je joue en tournée, parce que les chansons me donnent envie de bouger. Avant le projet Vera Blue, je me cachais derrière ma guitare quand j'étais sur scène, mais maintenant je peux vraiment y aller. C'est ce que le côté électronique ajoute à la musique.
 
Malgré ses nouveaux éléments sonores, l'album est soutenu par l'écriture classique qui a défini la croissance musicale de Vera Blue. Chaque chanson a commencé sa vie organiquement, créée sur le piano ou la guitare acoustique, comme en témoigne le «We Used To»  et l'album sensationnel plus proche,  «Pedestal».
 
Produit par Andy Mak,  et récemment coproduit avec  Adam Anders ,  Perennial  voit Vera Blue trouver de nouvelles façons de donner une voix à l'Australie. Incontestablement honnête, c'est l'album qu'elle a dû écrire, avec un son qui lui est propre.

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Concerts passés de Vera Blue