JONA OAK

Née aux États-Unis, elle grandit au sein d’une famille multiculturelle et développe dès l’enfance une sensibilité nomade et mélomane. C’est à l’ombre de la figure tutélaire de Joni Mitchell qu’elle commence à composer des chansons. Aujourd’hui, les racines de sa musique d’inspiration folk s’enrichissent de mélodies pop aux accents soul et jazz. 

Le premier album de Jona Oak, “A step at a time”, sortira au printemps 2020. Toutes les chansons s’inspirent de notre époque tiraillée entre les menaces écologiques et l’espoir d’un monde meilleur. Le rejet de l’hypocrisie (« I Could Kill »), l’évolution du monde et l’écologie (« Hey You »), la maternité ou l’espoir porté par les générations futures (« Our Nations ») sont autant de thèmes forts et dans l’air du temps qui y sont abordés. 

La voix est traitée comme un instrument à part entière, au même titre que la guitare ou le piano. Le violoncelle apporte une touche originale et subtile, comme un velours qui habille les mélodies et fait le lien entre tous les autres instruments. 

Dans la famille musicale de Jona Oak, à laquelle appartiennent d’autres figures féminines comme Feist, Lianne La Havas ou Norah Jones, on aime défendre une certaine chanson qualitative tout en restant bien ancré dans son époque.