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Biographie de Geneses Eternelles
En passant, il y a quelques millions d'années, de la reproduction unicellulaire aux brassages génétiques créateurs de formes uniques et imprévisibles, la vie humaine avait déjà posé les conditions de sa venue, de sa résistance et de sa persistance : la diversité, la liberté et la transversalité. Loin des clones tristes et des standards sous vide qui resurgissent ça et là, l'en-vie est encore bien féconde ! Pour preuve, les cinq jongleurs-chanteurs-percussionnistes mozambicains du projet Maputo, imaginé par Thomas Guérineau, quand ils greffent leurs membres agiles sur la guitare-basse à haute-tension du congolais Mel Malonga, dans une mise-en-ondes percutante d'un texte de Dieudonné Niangouna. Tout aussi ardent, le saxophone de Peter Corser, qui adopte la technique du souffle circulaire des didjeridoos australiens et des flûtes de Sardaigne, propulse en voluptueuses rafales le corps éjectable de Mathieu Desseigne dans les airs. Chemin fusant, il épouse les chocs et les anamorphoses de ce danseur de hip-hop révélé par Alain Platel. En mettant sous hyper-fusion la contrebassiste Joëlle Léandre et le violoncelliste Vincent Courtois, les génies de l'improvisation flirtent avec les joies et les mystères de la création, et dévoilent les secrets de leur genèse éternelle.
Bravant les clichés d'un énième mariage musical entre Orient et Occident, Serge Teyssot-Gay et Khaled Al Jaramani - qui conçut son premier oud dans les geôles de Bachar El-Assad - se tiennent en équilibre sur leurs cordes les plus sensibles, oscillant entre la joie et le recueillement, l'espoir et la révolte, la tendresse et la rage. Ils engendrent un océan qui ne figure sur aucun atlas, irrigué par des torrents de liberté et d'amour, où giclent pêle-mêle les écumes sonores et poétiques du violoniste Blaise Merlin, du vocaliste iranien Taghi Akhbari, du jeune poète et chanteur égyptien révolutionnaire Abdullah Miniawy. Des ADN enlacés aux noces d'amour et de vrai son, la voie est vive... et la collision fertile !
Bravant les clichés d'un énième ménage entre Orient et Occident, Serge Teyssot-Gay et Khaled Al Jaramani - qui conçut son premier oud dans les geôles de Bachar El-Assad - se tiennent en équilibre sur leurs cordes les plus sensibles, oscillant entre la joie et le recueillement, l'espoir et la révolte, la tendresse et la rage. Ils engendrent un océan musical qui ne figure sur aucun atlas, irrigué par des torrents de liberté et d'amour, où giclent pêle-mêle les écumes sonores et poétiques du violoniste Blaise Merlin, du vocaliste iranien Taghi Akhbari, du jeune poète et chanteur égyptien révolutionnaire Abdullah Miniawy. Des ADN emberlificotés aux mariages fricoteurs d'amour et de vrai son, la voie est vive... et la collision fertile !



