BASTON

Biographie de Baston

On a à peu près tout entendu ces derniers mois sur le premier album de Baston, sorti en novembre sur Howlin Banana Records, 4 ans après son premier EP.
Sur "Primate", disque « teinté de psyché et de krautrock » (Les Inrocks), « bourré de références au rock motorik, Neu ! en tête » (Gonzaï), «épousant joliment son époque » (La Grosse Radio), Baston « propose une sorte de dream-pop psychédéqiue » d'après Rock à la Casbah, « où le chant, plein de reverb est un instrument comme un autre, et accompagne l'imaginaire ». Pour Libération, « qu'on y entende de la pop motörik ou du post-punk soviétisant, on trouve dans les chansons de Primates une noble ambition de foisonnement, riche de références en tout genre », alors que chez Les Oreilles Curieuses, il est « impossible de ne pas être hypnotisé devant des ritournelles telles que « Viande » et « Domovoï » remplis de vices en tous genres ». Sensation Rock l'élève au rang de « joyau » : « c'est avec un sens aiguisé de la mélodie et une maîtrise parfaite de rythmiques répétitives et entêtantes que la formation signe une œuvre solide et aboutie ». Pour RockUrLife, il s'agit même d'un « oxymore magnifique » : « La fameuse "motorik pop" est plus pertinente et paradoxale que jamais, froide et bouillante, robotique et sensible, entraînante et cérébrale.»
Rock&Folk résume parfaitement tout ça en affirmant que « Baston a réussi où tous les français ont échoué : marier la new-wave et le psychédélisme allemand, sonner neuf et chanter comme à Manchester. ».
Pour nous faire notre propre idée, on a écouté l'album une bonne vingtaine de fois et figurez que tout est vrai. Pour une fois que la presse dit la vérité et parle d'une seule voix, rendons-lui hommage.

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