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Biographie de Joesef
« C'était juste fou ! » il s'émerveille de son retour enthousiaste. "Pendant tout le concert, j'étais comme, qu'est-ce qui se passe? C'était tellement bruyant. C'était une foule de Glasgow, donc je m'y attendais, mais c'était mental - je ne pouvais même pas m'entendre, surtout pendant Comedown - une chanson calme que les gens chantent le plus fort - et The Sun Is Up Forever.
Et j'ai pu emmener ma mère dans les coulisses, donc c'était spécial. Jouer des spectacles et de la musique live sont la chose la plus importante pour moi. D'autres choses dans la vie vont et viennent, mais vous pouvez toujours vous souvenir d'un spectacle incroyable - et c'était le plus incroyable à ce jour. a déménagé à Londres fin 2020 --fuyant le confinement #2, un ex-et les souvenirs-Joesef avait l'intention « d'élargir mes horizons », musicalement et émotionnellement.
Il a donc passé la majeure partie de l'année dernière dans The Dairy à Brixton, travaillant sur son premier album avec le producteur Barney Lister (Joy Crookes, Celeste), écrivant et écrivant et écrivant. avant les trois spectacles à guichets fermés de Joesef au Hoxton Hall d'East London. Dans la luxueuse ballade soul électronique, Joesef brosse un tableau lyrique comme lui seul sait le faire : "J'ai dû incendier ma maison juste pour oublier la façon dont nous avions l'habitude de nous allonger ivres sur le sol, en buvant toute la journée." "C'est moi et mon ex- », reconnaît-il.
"Avec le recul, c'est en quoi consistait notre relation: être hors de notre visage. C'était fou mais j'adorais ça. Ça ne s'est évidemment pas bien terminé mais c'était la classe tant que ça a duré. Mais la chanson n'est pas cathartique - la résolution dans le pont est : "Il n'y a pas un feu assez chaud pour te brûler hors de mon esprit." Il s'agit de la nature cyclique du chagrin : peu importe combien vous essayez d'y échapper. , c'est toujours là.
"Cette chanson a été une percée pour moi en termes de sons", ajoute-t-il. "C'est cinématographique, une ambiance de thème de James Bond." Jusque-là, Joesef avait tout fait lui-même. Adolescent, le garçon de l'East End de Glasgow ne connaissait personne dans l'industrie de la musique.
Il n'avait qu'une seule année rapide sur un cours de production musicale à son actif ("Je ne pouvais tout simplement pas gérer les fils et ce genre de choses - même si j'ai appris à utiliser Ableton"). De même, alors que son enfance était entourée par les disques préférés de sa mère qui explosaient matin, midi et soir (Al Green, The Mamas and the Papas, Marvin Gaye, Donny Hathaway), il n'y avait pas d'argent pour les cours de musique.
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